Entre 1800 et 2000, la
mortalité infantile
a baissé et la
durée de vie
s'est allongée, passant de 25 à
65 ans en moyenne. Résultat : la
population mondiale
s'est mise à augmenter, passant
de 1 à 6 milliards.
Aujourd'hui, la diminution de la
fécondité
entraîne un ralentissement de la
croissance.
La population pourrait se stabiliser à terme
à 10 milliards d'hommes vers 2100. L'humanité
aura alors achevé sa "
transition démographique
" après s'être
multipliée par 10 en 300 ans.
Elle sera aussi davantage concentrée dans les
pays du Sud.