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Parce que sa vente est aux mains d'intermédiaires, le coût du raphia est devenu trop élevé pour les artisanes malgaches qui tissent la rabane. Les paysans n'ont plus les moyens d'entretenir les raphières, ils préfèrent planter du riz pour assurer leur nourriture. Redonner de la valeur aux tissages par une labellisation permettrait de restructurer la filière et de protéger cette " plante-ressource ".
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