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De cet arbuste endémique de l'île Maurice, considéré comme éteint depuis 1990, seules subsistaient quelques graines, conservées par le Conservatoire de Brest. Pour assurer l'hypothétique sauvetage de l'espèce, on eut recours à une technologie in vitro novatrice qui devait permettre la régénération de plantes entières à partir de quelques massifs cellulaires vivants, repérés dans les tissus morts des graines. Neuf ans furent nécessaires pour produire des spécimens adultes.
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