Impact sur la fertilité

Des chercheurs du Centre d’études européennes avancées et de recherche de Bonn (Allemagne) et du département de croissance et reproduction de l’université de Copenhague (Danemark) ont récemment mis en évidence que les perturbateurs endocriniens – 96 substances chimiques de ce type ont été étudiées – interfèrent avec diverses fonctions spermatiques et peuvent en conséquence avoir un impact sur la fertilité humaine (ici, un spermatozoïde de forme anormale). Parue en mai 2014 dans l’Embo Reports, cette étude germano-danoise est l’une des toutes premières à faire la démonstration d’un lien direct entre l’exposition à des perturbateurs endocriniens et la fertilité humaine.