Le verre progressif :

la saga Varilux

Page 2 sur 3

Machine de mesure de coordonnées
Machine de mesure de coordonnées.
© Jean-Jacques Raynal/Essilor

Qu'y avait-il avant le verre progressif ?

Deux types de verres permettent de corriger la presbytie :
- Les verres simple foyer ou les loupes permettent de voir de près mais ne corrigent pas la vision intermédiaire ni  la vision de loin.
- Les verres à double ou triple foyer, permettent de voir net de près ou de loin mais avec un saut d’image,

Aujourd’hui, les moyens de correction sont :
- les verres progressifs permettent de voir net à toutes distances sans rupture d’image.
- les verres de vision de près à profondeur de champ
- les verres simple foyer (positifs)
- les verres double-foyer
- les lentilles de contact

La meilleure solution

La conception d'un verre progressif est fondée sur les connaissances du fonctionnement du système visuel. Les propriétés optiques d'un verre progressif sont calculées à partir de modèles complexes. Les verres ainsi obtenus sont ensuite testés par des porteurs afin d'évaluer des critères subjectifs  : confort, qualité de vision, vision de loin, vision intermédiaire, vision de près, vision quand le porteur bouge, vision quand l'environnement bouge, largeurs de champ, facilité d'adaptation. Le recueil de ces critères permet alors d'enrichir le modèle numérique de départ, au travers d'algorithmes d'optimisation, jusqu'à l'obtention de la meilleure solution.

Essilor et l'innovation

Vue subjective
Visionner des films dans le train ou les salles d'attente.
© MicroOptical/Collection du Patrimoine Essilor

Dans les années 1950, Bernard Maitenaz, Ingénieur des Arts et Métiers et de l'Institut Supérieur d'Optique, invente et développe le premier verre progressif au sein de la Société Essel. En 1972, Essel et Silor fusionneront pour donner naissance à Essilor

Essilor compte aujourd'hui plus de 26 000 collaborateurs dans le monde, dont plus de 500 chercheurs répartis dans 4 centres de recherche et développement en France, aux États-Unis, au Japon et à Singapour.

50% des ventes sont réalisées avec des produits de moins de 5 ans, et 30% grâce à des innovations de moins de 3 ans. Essilor investit chaque année 5 % de son chiffre d’affaires en recherche et développement.

Un autre exemple d'innovation : les lunettes vidéos

Ces lunettes, développées par MicroOptical en collaboration avec Essilor International, proposent une solution innovante de visualisation de contenus numériques en mobilité. Fines et légères, ces lunettes vidéo intègrent un écran virtuel équivalant à un écran d'environ 70 cm de diagonale situé à 2 mètres de soi.

Grâce à de telles technologies, vous pouvez maintenant regarder un film où que vous soyez, confortablement et avec un grande qualité sonore, mais sans être déconnecté de votre environnement.

Haut de page

Pages Pages�: 1 - 2 - 3