La sonde Clementine
Projet conjoint de la NASA et du Département de la défense américain, la sonde Clementine avait plusieurs missions à son programme : tester la résistance de certains composants à l'environnement spatial, et réaliser des images de la Lune et d'un astéroïde proche de la Terre, Geographos.
Le radiotélescope de l'observatoire d'Arecibo
Avec une antenne de 305 m de diamètre, l'observatoire d'Arecibo possède depuis 1963 le plus grand radiotélescope au monde.
L'observatoire spatial SOHO (Solar and Heliospheric Observatory)
Projet commun des agences spatiales européenne (ESA) et américaine (NASA), SOHO a pour mission d'étudier plusieurs aspects du Soleil : sa structure interne, sa couronne (son atmosphère externe), et l'origine du vent solaire (le flux continu de gaz ionisé qui arrive parfois jusque sur Terre et vient perturber le fonctionnement de nos satellites).
Le télescope spatial ISO (Infrared Space Observatory)
Lancé en 1995 par l'Agence spatiale européenne (ESA) depuis la Guyane française, le satellite ISO est un observatoire spatial spécialement dédié à l'étude du rayonnement infrarouge émis par les objets astronomiques, afin de récolter des informations uniques sur la composition moléculaire et la structure des objets les plus lointains.
Le télescope spatial Hubble
Premier véritable télescope optique spatial, Hubble est très certainement l'instrument qui a le plus marqué la dernière décennie.
La sonde Galileo
Lancée le 18 octobre 1989, la sonde spatiale américaine Galileo gravite depuis 1995 autour de Jupiter afin d'étudier la planète géante et ses satellites.
Le VLT : Very Large Telescope
Le VLT (littéralement le ''très grand télescope'') est un projet de l'Observatoire Européen Austral (ESO) dont rêvent les chercheurs depuis plus de vingt ans. L'idée est de réunir au sein d'un même site quatre télescopes géants et trois plus petits afin de combiner leurs images par interférométrie.
Un oiseau marinqui ne se pose jamais sur l'eau : comment est-ce possible ?
La frégate superbe, un oiseau marin, ne peut pas se poser sur l’eau, faute d’un plumage imperméable, et encore moins s’en extirper, à cause de ses pattes trop courtes. Pourtant, elle est parfaitement adaptée au milieu marin. Ce mystère vient d’être élucidé par des ornithologues du CNRS.