Conférence de Melbourne : qui sont les journalistes scientifiques ?

Réunis récemment à Melbourne, en Australie, 600 journalistes scientifiques de 40 pays ont débattu de leur métier, de leurs conditions de travail et des enjeux de la profession. Loin d'être universel, ce métier embrasse des réalités différentes selon que l'on vit à Damas, Bogota ou Tokyo.

Par Philippe Pajot, le 06/07/2007

De la Syrie au Japon...

Présents lors de cette cinquième édition de la Conférence mondiale des journalistes scientifiques, nous avons interviewé six journalistes exerçant leur profession dans des pays aussi divers que la Syrie, la Colombie, le Sri Lanka ou le Japon. Des témoignages qui nous permettent d'en savoir un peu plus sur le rôle joué par les journalistes scientifiques dans les différents pays, ainsi que sur la place occupée par la science dans les médias.

Avec : Raphaëlle Derôme, Canada. Jeune journaliste, elle travaille à temps partiel pour le magazine scientifique «Les Débrouillards», et le reste du temps comme journaliste pigiste. Lisbeth Fog, Colombie. Journaliste expérimentée, elle a été l'une des co-fondatrice de la Fédération mondiale des journalistes scientifiques (WFSJ). Elle anime notamment une émission à la Radio publique colombienne. Christina Scott, Afrique du Sud, correspondante pour l'Afrique du réseau international de sciences SciDev.net. Mariko Takahashi, Japon. Elle dirige l'équipe de journalistes scientifiques du quotidien japonais Asahi Shimbun. Nalaka Gunawardene, Sri Lanka. Journaliste de télévision, il dirige la fondation TVE Asia Pacific qui produit des contenus télévisuels dans le domaine des sciences et du développement. Fida Al Jundi, Syrie, journaliste pour l'édition arabe de PC magazine.

Philippe Pajot le 06/07/2007