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Mission spatiale
La grotte Chauvet, dans la peau des scientifiques. Livre jeunesse
L’intelligence artificielle fait régulièrement les gros titres, car elle inquiète, intrigue et questionne. Grâce aux algorithmes, aux données de masse et aux puissances de calcul, elle imprègne déjà notre vie quotidienne et change nos habitudes. Trois exemples concrets : elle permet de « survivre à la mort », de nous orienter vers la « bonne » filière étudiante ou le « bon » emploi, de mieux détecter certains cancers. Comment fonctionnent ces applications et quelles en sont les limites ? Quels usages en fait-on ? Quels impacts sont déjà observables et lesquels sont à prévoir ?
Avatars : à la vie, à la mort...
Le numérique et les données massives ont changé notre conception de l’identité et la représentation que nous nous faisons de nous-mêmes. Que deviennent nos identités virtuelles après notre mort ? Quelles sont ces nouvelles applications qui permettent d’entretenir une relation avec des personnes disparues ? Avec quels effets ?
Avec : Fanny Georges, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université Sorbonne Nouvelle, chercheuse à l’Institut de recherche Médias, Cultures, Communication et Numérique (IRMECCEN) ;Lise Haddouk, docteur en psychologie, maître de conférences en psychopathologie à l’université de Rouen et psychologue clinicienne ; Frédéric Simode, fondateur de GrantWill, société de gestion de l’identité numérique. Modération : Perrine Signoret, journaliste.
Ces algorithmes qui nous trient, des études à l'emploi
À la sortie du bac, lors d’une recherche d’emploi, pour communiquer avec un conseiller financier, … Comment traiter le très grand nombre d’offres et le très grand nombre de demandes ? Derrière des systèmes connus tels que Parcoursup, Pôle Emploi ou le moteur de recherche américain Indeed, ce sont des algorithmes qui nous trient, nous choisissent ou choisissent pour nous.Claire Mathieu, informaticienne et chercheuse en sciences du numérique, directrice de recherche au CNRS.
Des algorithmes diagnostiquent certaines maladies rares ou complexes en se basant sur un très grand nombre de données. Comment fonctionnent-ils ? Quelles données utilisent-ils ? L’humain et la machine sont-ils en compétition ?
Béatrice Desvergne, médecin, biologiste et philosophe, professeure au Centre intégratif de génomique (CIG) de l’UNIL et doyenne de la Faculté de biologie et de médecine