Thérapeutiques Psychiatrie Neurostimulation EMDR / Deep stimulation transcranienne 30 juin 2025 Question Bonjour, à ce jour, où en est le développement de ces thérapies à l’échelle européenne voire mondiale ? Réponse Bonjour, Vous souhaitez avoir des informations sur le développement de l’EMDR et de la Stimulation Magnétique Transcrânienne Profonde. Concernant l’EMDR (eye movement desensitization and reprocessing), nous vous proposons la lecture du dossier que lui consacre l’Inserm, L’EMDR pour traiter le stress post-traumatique, vraiment ?L’EMDR est une psychothérapie par mouvements oculaires qui cible les mémoires traumatiques des individus. Comment expliquer ses effets bénéfiques pour lutter contre le stress?[…]https://presse.inserm.fr/canal-detox/lemdr-pour-traiter-le-stress-post-traumatique-vraiment/ La Haute Autorité de Santé préconise son utilisation dans le Guide Affections psychiatriques de longue durée, Troubles anxieux graves :[…]9. Prise en charge de l’état de stress post-traumatique (ESPT)[…]9.2 Traitement de l’ESPT● Le traitement concerne l’ESPT et les comorbidités souvent associées (dépression, risque de suicide, dépendance vis-à-vis de drogues ou de l’alcool, etc.). 18● Le soutien psychosocial est essentiel chez la plupart des patients victimes de traumatismes graves (viols, accidents, attentats, catastrophes naturelles).L’information du patient sur son trouble et sur ses droits est essentielle, et peut être facilitée par le soutien d’associations de patients ou d’aide aux victimes (assistances juridiques, psychothérapies, etc.).Psychothérapies structurées● Le traitement de choix est la Thérapie cognitivo-comportementale (TCC) centrée sur le traumatisme ou la désensibilisation avec mouvements oculaires (EMDR : eye movement desensitization and reprocessing2 ). L’EMDR est contre-indiquée en cas de pathologie psychotique.https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/guide_medecin_troubles_anxieux.pdf L’EMDR est également mentionnée dans la Fiche 10 : Agir en premier recours pour diminuer le risque alcool – L’approche psychothérapeutique (juillet 2023)[…]Les approches psychothérapeutiquesEn cas de souffrance psychologique, un travail en psychothérapie peut permettre de restaurer une place au sujet en tant qu’acteur de sa vie, de changer de comportement, de manière de penser ou de réagir et d’améliorer ses capacités à réguler ses émotions, à résoudre des problèmes, à faire des choix, à s’affirmer. Quel que soit le motif de l’engagement dans une psychothérapie (en lien direct ou pas avec l’usage d’alcool), cela peut contribuer à réduire le risque alcool ainsi que favoriser la santé et la qualité de vie.Le champ des psychothérapies dont l’efficacité a été prouvée regroupe diverses possibilités en référence à des théories, des pratiques ou des objectifs différents.‒ La psychothérapie de soutien : non structurée, elle vise à offrir une aide et un soulagement face à des problématiques ponctuelles. Centrée sur l’adaptation et le soutien moral, elle ne cherche pas à mobiliser la personne dans une analyse de son fonctionnement en profondeur.‒ Les principales psychothérapies structurées :• les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) : elles visent à comprendre et modifier les comportements « inadaptés » ainsi que les pensées et émotions qui y sont associées ;• les psychothérapies psychodynamiques ou d’inspiration analytique : elles visent la prise de conscience et la compréhension de l’influence de difficultés et conflits passés sur le fonctionnement actuel de la personne ;• les thérapies systémiques : elles ciblent les déterminants des interactions socio-familiales et les aspects dysfonctionnels qu’il serait possible de résoudre ;‒ autres psychothérapies : thérapies interpersonnelles (TIP), thérapies de pleine conscience (mindfullness), EMDR (Eye Movement Desensitization Reprocessing), thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT), hypnothérapie, psychothérapies humanisteshttps://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-10/fiche_10.agir_en_premier_recours_pour_diminuer_le_risque_alcool__lapproche_psychotherapeutique.pdf L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) reconnait ce traitement comme efficace dans Post-traumatic stress disorder (27 May 2024)[…]TreatmentThere are many effective treatments for people with PTSD. Evidence-based psychological interventions are the first choice treatments and can be delivered to individuals or groups, in person or online. Some may also be accessed through self-help manuals, websites and apps. Psychological interventions can help people learn new ways of thinking and coping that may reduce their symptoms. They can help people manage difficult situations and address the events, people or places that trigger their traumatic memories. The psychological interventions with the most evidence for effective treatment of PTSD are those based on cognitive behavioural therapy with a trauma focus and eye movement desensitization and reprocessing (EMDR). Many of these involve exposure techniques, in which the person is asked to recall, narrate or imagine the traumatic event(s) so that they are exposed to their memories within a safe and supportive environment. Psychological interventions for PTSD may also include real or imagined exposure to triggers that may evoke traumatic memories. Traduction :TraitementIl existe de nombreux traitements efficaces pour les personnes souffrant de SSPT. Les interventions psychologiques fondées sur des données probantes sont les traitements de premier choix et peuvent être dispensées à des individus ou à des groupes, en personne ou en ligne. Certaines peuvent également être accessibles par le biais de manuels d'auto-assistance, de sites web et d'applications. Les interventions psychologiques peuvent aider les personnes à apprendre de nouvelles façons de penser et de faire face qui peuvent réduire leurs symptômes. Elles peuvent aider les personnes à gérer des situations difficiles et à aborder les événements, les personnes ou les lieux qui déclenchent leurs souvenirs traumatiques. Les interventions psychologiques dont l'efficacité dans le traitement de l'ESPT est la mieux démontrée sont celles fondées sur la thérapie cognitivo-comportementale axée sur les traumatismes et sur la désensibilisation et le retraitement par le mouvement oculaire (EMDR). Nombre de ces interventions font appel à des techniques d'exposition, dans lesquelles on demande à la personne de se rappeler, de raconter ou d'imaginer le ou les événements traumatisants afin qu'elle soit exposée à ses souvenirs dans un environnement sûr et favorable. Les interventions psychologiques pour le SSPT peuvent également inclure une exposition réelle ou imaginaire à des déclencheurs susceptibles d'évoquer des souvenirs traumatisantsTraduit avec DeepL.com (version gratuite)https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/post-traumatic-stress-disorder Concernant la Stimulation Magnétique Transcranienne, l’Institut du Cerveau propose un dossier daté de 2021 intitulé Stimulations cérébrales non-invasives pour les maladies neurodégénératives dans lequel il explique :Les interventions de stimulation cérébrale non-invasive, comme la stimulation magnétique transcrânienne ou la stimulation électrique par courant continu, représentent un espoir dans les maladies neurodégénératives. Elles ont montré leur capacité à agir sur les processus de plasticité cérébrale et sont maintenant bien connues, depuis plus d’une dizaine d’année, dans la modulation de différents processus cognitifs chez des sujets non-malades. De récentes études se sont par ailleurs montrées prometteuses sur la capacité de ces techniques à améliorer les processus cognitifs liés au langage ou à la mémoire au cours du vieillissement.[…]La stimulation magnétique transcrânienne et la stimulation transcrânienne par courant continuLa stimulation magnétique transcrânienne (TMS) est une technologie non invasive permettant une action focalisée sur une région cérébrale particulière au moyen des courants électriques générés par un champ magnétique transitoire. Elle est capable de modifier de façon transitoire l’activité de la région ciblée et a notamment été utilisée pour rétablir des activités électriques normales dans des régions endommagées du cerveau. La TMS agit principalement sur des régions superficielles du cerveau, au niveau du cortex, mais a tout de même montré une capacité à influencer l’activité de régions distantes de la zone de stimulation, connectées toutefois anatomiquement par des faisceaux de substance blanche à cette dernière.La stimulation électrique transcrânienne par courant continu (tDCS) consiste à faire passer un faible courant électrique entre deux électrodes placées sur deux régions distantes du crâne. Cela a pour effet de polariser une région du cortex et ainsi à moduler l’excitabilité des neurones, et les rendre plus ou moins sensibles à une activation physiologique. Contrairement à la TMS, elle n’agit pas directement sur l’activité électrique des neurones du cortex. Elle a l’avantage d’être beaucoup moins coûteuse que la TMS et plus facile d’utilisation à l’hôpital ou en soins de suite, mais pour une précision spatiale moindre. https://institutducerveau.org/actualites/stimulations-cerebrales-non-invasives-pour-maladies-neurodegeneratives Par ailleurs, l’Hopital des Quinze-Vingts indique dans l’article Stimulation magnétique transcrânienne (TMS) :A l’hôpital des Quinze-Vingts, l’acquisition d’un TMS robotisé s’inscrit en particulier dans le projet de prise en charge de la douleur des patients du centre interdisciplinaire de traitement de la douleur chronique en relation avec les pathologies ophtalmologiques. Consulter l’article du Quotidien du médecinCette nouvelle technique (TMS répétitive), par ses effets à plus ou moins long terme sur le fonctionnement de certains circuits cérébraux, peut être mise à profit pour traiter certains symptômes dans différentes pathologies comme :dépression pharmaco-résistante,troubles obsessionnels compulsifs,troubles moteurs (maladie de Parkinson),douleurs chroniques (neuropathies),acouphènes.En effet, plusieurs séances de stimulation sont en général nécessaires, quotidiennes et pluri-hebdomadaires. Par exemple, dans le cadre de la dépression, le traitement dure 5 à 6 semaines en continu ; la durée de chaque séance de stimulation est d’environ 30 minutes.En quoi consiste le traitement pas la stimulation magnétique transcrânienne ?Cette technique non-invasive et indolore modifie transitoirement l’activité électrique des neurones et inter-neurones du cortex cérébral par la délivrance d’un champ magnétique focal, intense et de courte durée, appliquée à la surface du crâne.La modification de l’activité électrique ainsi induite concerne non seulement la zone cérébrale située immédiatement sous la bobine de stimulation, mais également des aires cérébrales plus distantes en relation anatomique et fonctionnelle avec la région stimulée. La réitération de ces stimulations peut entraîner des phénomènes de plasticité synaptique à plus long terme mais variable d’un individu à l’autre. Cette stimulation peut consister en une impulsion unique mais le plus souvent, en application clinique, en une succession continue d’impulsions à basse fréquence (< 1Hz) d’effet inhibiteur ou à haute fréquence (>4 Hz) d’effet activateur. On parle alors de TMS répétitive classique.[…]https://www.15-20.fr/professionnels-de-sante/stimulation-magnetique-transcranienne-tms/ Toutefois, voici un extrait du rapport de la Haute Autorité de Santé concernant la Stimulation magnétique transcrânienne dans le traitement de la Dépression résistante de l’adulte, daté de juillet 2022 Conclusion et perspectives[…]Au total, dans l’indication de traitement de la dépression résistante chez l’adulte, malgré un profil de sécurité rassurant, les données retenues liées à la rTMS (protocole conventionnel HF- G) une montrent pas un impact clinique favorable (absence de valeur ajoutée clinique pertinente par rapport à une procédure factice, absence de détermination de sa place par rapport à la stratégie de référence existante d’optimisation pharmacologique, alternative non acceptable à la sismothérapie). L’impact organisationnel de l’utilisation de la rTMS comme traitement d’appoint par rapport à l’optimisation pharmacologique seule (stratégie existante la plus fréquente) est défavorable.https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2022-07/rapport_rtms_2022-07-25_16-09-26_869.pdf La Fondation FondaMental, Fondation de recherche dédiée à la lutte contre les maladies mentales, mentionne également la rTMS dans son dossier Dépression résistante :[…]Traiter la dépression sous toutes ses formes[…]La stimulation magnétiques transcranienne (RTMS)La rTMS est indiquée pour la prise en charge des épisodes dépressifs, en particulier lors de l’échec à un 1er traitement antidépresseur (niveau de résistance modéré) ou lors d’intolérance aux antidépresseurs. Cette technique de neurostimulation, pratiquée sans anesthésie et relativement bien tolérée, a pour but de moduler l’activité de régions cérébrales impliquées dans la physiopathologie de la dépression.Elle consiste à appliquer un champ magnétique à la surface du cuir chevelu pendant quelques minutes de manière répétées plusieurs fois par jour et plusieurs jours consécutifs. En général le traitement s’organise sur 2 à 3 semaines lors d’hospitalisation ou en ambulatoire. Les résultats montrent une efficacité au moins équivalente voire supérieure aux antidépresseurs, mais moindre que l’électro-convulsivothérapie (ECT).https://www.fondation-fondamental.org/les-maladies-mentales/depression-resistante#les-traitements- Nous avons trouvé mention de la Stimulation Magnétique Transcrânienne dans deux traités de l’Encyclopédie Médico-Chirurgicale Elsevier Masson : - Troubles cognitifs post-AVCO. Godefroy, M. Roussel. Troubles cognitifs d'origine vasculaire. EMC - Neurologie 2024;47(4):1-11[…]Quelle prise en charge ?Si le traitement de prévention secondaire est indispensable chez tous les patients, son bénéfice sur le devenir cognitif reste partiellement documenté. Seule la réduction tensionnelle a montré inconstamment une réduction du seul déclin cognitif (opérationnalisé par une diminution de 3 points de MMSE) [83], ce qui est lié à l'étude PROGRESS [84], les autres critères (troubles cognitifs léger et majeur) étant négatifs [83].La prise en charge de déficit cognitif post-AVC nécessite en premier lieu d'évaluer l'intérêt d'une prise en charge rééducative qui a fait l'objet de recommandations de la Haute Autorité de santé en 2022 pour la phase chronique (fr/). La recommandation de grade A concerne la rééducation et la stimulation magnétique répétitive transcrânienne pour les troubles du langage. Les recommandations de grade B concernent le ralentissement de l'action-vitesse de traitement (rééducation de type time pressure management ), la plainte mnésique (stratégies de compensation [utilisation d'aide-mémoire internes ou externes] ainsi que l'activité physique aérobie), la mémoire de travail (entraînement à la compensation des troubles). Les recommandations de grade C concernent l'héminégligence spatiale (thérapie de type visual scanning training et adaptation prismatique) et les troubles praxiques gestuels. Enfin, un accord d'experts recommande la prise en charge des troubles dysexécutifs cognitifs (rééducation de type goal management training , problem solving training ). Dans les troubles non aphasiques, la stimulation cérébrale transcrânienne magnétique et électrique [85], dont les cibles sont éventuellement guidées par les analyses de disconnexion [86], semble très prometteuse et nécessite des travaux complémentaires.https://www.em-consulte.com/article/1675305/troubles-cognitifs-d-origine-vasculaire - Négligence spatiale unilatéraleM. Cogné, B. Glize, I. Bonan. Négligence spatiale unilatérale. EMC - Ophtalmologie 2021;38(1):1-7RésuméLa négligence spatiale unilatérale est un trouble attentionnel et représentationnel de l'hémiespace corporel et extracorporel, controlatéral à une lésion cérébrale. Ce trouble est un trouble cognitif et se rencontre principalement chez les personnes avec une lésion cérébrale hémisphérique droite, et plus fréquemment en cas de lésion pariétale inférieure ou temporale supérieure. Sa présence chez une personne cérébrolésée est de mauvais pronostic pour la récupération neurologique et l'autonomie ultérieure en vie quotidienne. La recherche d'une négligence spatiale unilatérale est souvent effectuée à l'aide de tests neuropsychologiques papier-crayon, mais ceux-ci sont peu écologiques et peuvent faire méconnaître une négligence légère ou encore certains types de négligence ; les évaluations dans un espace plus large, en environnement réel ou virtuel, sont donc à privilégier. Une hémianopsie latérale homonyme est souvent associée chez les personnes cérébrolésées présentant une négligence, et les évaluations neuropsychologiques permettent de les différencier. Il n'existe actuellement aucun traitement médicamenteux recommandé pour traiter la négligence spatiale unilatérale. La prise en charge rééducative de la négligence spatiale unilatérale comprend l'association de techniques de type top-down , comme la stimulation de l'exploration visuelle à des techniques de type bottom-up , comme les vibrations des muscles du cou ou encore l'adaptation prismatique. Les stimulations cérébrales profondes de type rTMS (stimulation cérébrale magnétique transcrânienne répétitive) et tDCS (stimulation transcrânienne à courant continu), ou encore la réalité virtuelle, ont montré des premiers résultats prometteurs décrits dans la littérature internationale.[…]Autres techniquesAucun traitement médicamenteux n'a à ce jour de niveau de preuve suffisant pour être recommandé dans le traitement de la négligence spatiale unilatérale [74]. Des techniques de stimulations magnétiques (rTMS) ou électrique (tDCS) répétitives à visée d'inhibition du cortex pariétal gauche sain et à visée de rétablissement de la balance interhémisphérique, ont montré leur efficacité sur les symptômes de négligence [75]. Nyffeler et al. [76] ont montré qu'une stimulation de type theta burst continue améliorait les tests papier-crayon, le score à l'échelle de Catherine Bergego et le devenir fonctionnel de patients négligents à la fin de la prise en charge et trois mois plus tard.https://www.em-consulte.com/article/1426044/negligence-spatiale-unilaterale Sachez que vous pouvez consulter l’intégralité de ces articles en adhérant gratuitement à la Bibliothèque des sciences et de l’industrie dont fait partie la Cité de la santé. https://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/lieux-ressources/bibliotheque/informations-pratiques/le-pass-bsi Accès à la base EMPremium via Mes services :https://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/lieux-ressources/cite-de-la-sante/chercher-de-la-documentation/bases-de-donnees#item-grid-13689 Au sujet spécifique de la Stimulation Magnétique Transcrânienne Profonde, la Food and Drug Administration a autorisé son utilisation pour certaines affections. - Les Troubles obsessionnels du comportementFDA permits marketing of transcranial magnetic stimulation for treatment of obsessive compulsive disorderAugust 17, 2018Today, the U.S. Food and Drug Administration permitted marketing of the Brainsway Deep Transcranial Magnetic Stimulation System for treatment of obsessive compulsive disorder (OCD).“Transcranial magnetic stimulation has shown its potential to help patients suffering from depression and headaches,” said Carlos Peña, Ph.D., M.S., director of the Division of Neurological and Physical Medicine Devices in the FDA’s Center for Devices and Radiological Health. “With today’s marketing authorization, patients with OCD who have not responded to traditional treatments now have another option.”OCD is a common, chronic and long-lasting disorder in which a person has uncontrollable, reoccurring thoughts and behaviors that a person feels the urge to repeat over and over. OCD is typically treated with medication, psychotherapy or a combination of the two. According to the National Institute of Mental Health, about 1 percent of U.S. adults had OCD in the past year. Although most patients with OCD respond to treatment, some patients continue to experience symptoms.Transcranial magnetic stimulation (TMS) is a procedure that uses magnetic fields to stimulate nerve cells in the brain. The FDA permitted marketing of TMS as a treatment for major depression in 2008 and expanded the use to include TMS for treating pain associated with certain migraine headaches in 2013.TraductionLa FDA autorise la commercialisation de la stimulation magnétique transcrânienne pour le traitement des troubles obsessionnels compulsifs17 août 2018Aujourd'hui, la Food and Drug Administration des États-Unis a autorisé la commercialisation du système de stimulation magnétique transcrânienne profonde Brainsway pour le traitement des troubles obsessionnels compulsifs (TOC).« La stimulation magnétique transcrânienne a démontré son potentiel pour aider les patients souffrant de dépression et de maux de tête », a déclaré Carlos Peña, Ph.D., M.S., directeur de la division des appareils de médecine neurologique et physique au sein du centre des appareils et de la santé radiologique de la FDA. "Avec l'autorisation de mise sur le marché d'aujourd'hui, les patients souffrant de TOC qui n'ont pas répondu aux traitements traditionnels ont maintenant une autre option.Le trouble obsessionnel-compulsif est un trouble fréquent, chronique et durable qui se caractérise par des pensées et des comportements incontrôlables et récurrents que la personne ressent le besoin de répéter sans cesse. Les TOC sont généralement traités par des médicaments, une psychothérapie ou une combinaison des deux. Selon l'Institut national de la santé mentale, environ 1 % des adultes américains ont souffert de TOC au cours de l'année écoulée. Bien que la plupart des patients atteints de TOC répondent au traitement, certains patients continuent à présenter des symptômes.La stimulation magnétique transcrânienne (SMT) est une procédure qui utilise des champs magnétiques pour stimuler les cellules nerveuses du cerveau. La FDA a autorisé la commercialisation de la SMT comme traitement de la dépression majeure en 2008 et a étendu l'utilisation de la SMT au traitement de la douleur associée à certaines migraines en 2013.Traduit avec DeepL.com (version gratuite)https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-permits-marketing-transcranial-magnetic-stimulation-treatment-obsessive-compulsive-disorder - L’addition au tabac, comme reporté dans l’article de la revue Frontiers in Psychiatry, 09 January 2023 Volume 13 - 2022 | doi.org/10.3389/fpsyt.2022.1079138 Moderators of the response to deep TMS for smoking addictionIntroduction: Deep repetitive transcranial magnetic stimulation (Deep TMS™) was recently cleared by the FDA as a short-term treatment for smoking cessation. However, it is unknown which participants are more likely to benefit from the treatment.[…]Conclusion: Three weeks of Deep TMS has a higher smoking addiction quit rate in participants who are younger, more educated, Caucasian and with less extensive smoking history. Participants who are older, with less education and more extensive smoking history may need a longer treatment course and/or combined treatment modalities. Potential reasons may be related to the challenges of inducing neuronal modifications in those with greater physical and psychological dependence. Further investigation is warranted.TraductionModérateurs de la réponse à la SMT profonde pour la dépendance tabagiqueIntroduction : La stimulation magnétique transcrânienne répétitive profonde (Deep TMS™) a récemment été autorisée par la FDA comme traitement à court terme pour le sevrage tabagique. Cependant, on ne sait pas quels participants sont les plus susceptibles de bénéficier du traitement.[…]Conclusion : Trois semaines de SMT profonde permettent d'obtenir un taux plus élevé d'abandon de la dépendance tabagique chez les participants plus jeunes, plus instruits, de race blanche et ayant moins d'antécédents de tabagisme. Les participants plus âgés, moins instruits et ayant des antécédents de tabagisme plus importants pourraient avoir besoin d'un traitement plus long et/ou de modalités de traitement combinées. Cela peut s'expliquer par la difficulté d'induire des modifications neuronales chez les personnes présentant une dépendance physique et psychologique plus importante. Des recherches plus approfondies sont justifiées.https://www.frontiersin.org/journals/psychiatry/articles/10.3389/fpsyt.2022.1079138/full Nous espérons que ces informations vous seront utiles et restons bien entendu à votre disposition pour toute recherche documentaire dans le domaine de la santé. L’Equipe des documentalistes de Questions-santé, Le service de réponses en ligne de la Cité de la santé.Service Questions-santéhttp://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/lieux-ressources/cite-de-la-sante/ Avez-vous trouvé cette réponse utile ? Oui cette réponse m'a été utile / Non cette réponse ne m'a pas été utile Avez-vous trouvé cette réponse utile ? Remplissez le formulaire de satisfaction !