Aujourd'hui, 12 millions d'animaux en Europe sont utilisés chaque année à diverses fins : traitements médicaux, tests de toxicité de substances chimiques, contrôles des denrées alimentaires. Il est probable que ce nombre augmente dans les années à venir en raison de nouveaux besoins. Comment les chercheurs vivent-ils leur pratique ? L'utilisation des “modèles animaux” est-elle encore moralement tenable ? Existe-t-il des modèles alternatifs et quelles sont les pistes d'avenir dans ce domaine ?

Journée organisée à l’occasion du bicentenaire de Claude Bernard.

Modération : Nathalie Milion, journaliste scientifique

Décembre 2013

 

La contribution de Claude Bernard

Jean-Gaël Barbara, neurobiologiste et historien des sciences, chercheur au CNRS.

La contribution de Claude Bernard (1:28:17)
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Est-ce un « mal nécessaire » ?

Florence Burgat, philosophe, chargée de recherche à l'Institut national de la recherche agronomique (INRA).
Jean-Pierre Marguénaud, professeur de droit privé, faculté de Droit et des Sciences économiques de Limoges.

Est-ce un « mal nécessaire » ? (1:34:56)
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Est-il possible de s'en passer ?

Table ronde avec :
Francois Busquet, coordinateur politique, Center for Alternatives to Animal Testing (CAAT Europe).
Philippe Hubert, directeur des risques chroniques à l'Ineris (Institut national de l'environnement industriel et des risques), directeur du Groupement d'intérêt scientifique sur le développement des méthodes alternatives
François Lachapelle, directeur de recherche et chef du bureau expérimentation animale à l'Inserm.
Nadine Peyriéras, biologiste, directrice de recherche au CNRS, Institut de neurobiologie Alfred Fessard.
Claude Reiss, toxicologue, président de Antidote Europe, ancien directeur de recherche au CNRS.

Est-il possible de s'en passer ? (1:44:31)
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